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Creator Nicolas Pesce. User rating 4,9 / 10 stars. Stars Tara Westwood. synopsis A house is cursed by a vengeful ghost that dooms those who enter it with a violent death. 1 h 34Minutes. Release date 2020. This movie doesnt even look scary it just looks really gross like if I see this Im not eating before I go.
Download the grudge game. The Grudge 2020 Film-Complet. 和家人一起看的好电影 ? Download the drudge report app for android. Download the grudge 3 movie. Shouldn't have to say it all again. Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Photos VOD Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Box Office Récompenses Films similaires News note moyenne 1, 6 478 notes dont 94 critiques répartition des 94 critiques par note 2 critiques 6 critiques 9 critiques 18 critiques 29 critiques 30 critiques Votre avis sur The Grudge? 94 critiques spectateurs Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Après avoir vu Samara se prendre méchamment les cheveux sales dans le tapis avec la pitoyable tentative de ressusciter la saga "Ring" US en 2017, on pensait que les spectres nippons (et leurs équivalents "corrigés" au ketchup US) étaient repartis une bonne fois pour toutes se faire un soin capillaire dans l'au-delà... Ben non. Nous voilà en 2019 avec un nouveau "The Grudge" et toujours autant surpris de sous-estimer le manque cruel d'inventivité de l'industrie hollywoodienne en matière d'épouvante. À bien y regarder, la manœuvre est pourtant logique d'un point de vue purement mercantile: en 2004, "The Grudge", remake de "Ju-on", a été un tel carton (avec son prédécesseur "Le Cercle" deux ans auparavant) qu'il a entrainé tout un tas d'adaptations plus ou moins heureuses de longs-métrages estampillés J-Horror (les films de fantômes japonais), alors pourquoi ne pas imaginer qu'une nouvelle version aurait le potentiel d'en faire de même durant la décennie à venir? Pour cela, rien de tel que de mettre le joli nom du producteur Sam Raimi en argument de vente comme à l'époque, de dénicher un réalisateur venu du l'horreur indé (Nicolas Pesce) pour signifier un semblant de vision artistique, d'avoir quelques acteurs plus que solides devant la caméra (Andrea Riseborough, Demían Bichir, John Cho, Lin Shaye et Jacki Weaver) et d'obtenir un petit R-Rated synonyme de scènes chocs afin d'affirmer une certaine différence face aux produits aseptisés du même genre. Tout cela sentait donc la formule et les astuces marketing à plein nez dans le but de nous vendre à peu près une soupe établie voilà déjà une vingtaine d'années. Étonnamment, et même s'il n'est pas une franche réussite (soyons clairs là-dessus! ), "The Grudge" 2020 va toutefois venir nous contredire en constituant réellement une proposition d'épouvante cherchant à ne pas se fondre totalement dans le moule habituel... Bon, passons sur l'introduction sans intérêt qui valide en un éclair le passage de la malédiction du Japon à une maison américaine (car, oui, un tel bidule surnaturel peut traverser un océan de toute évidence... ), elle ne fait que confirmer nos pires craintes après à peine quelques minutes et n'est pas vraiment représentative de ce qui va suivre, tout juste un simple clin d'oeil raté au passé. En effet, "The Grudge" dévoile ensuite rapidement son approche bien plus intéressante de polar surnaturel où l'enquête menée par l'héroïne va devenir le fil conducteur de l'historique de toutes les victimes de la malédiction dans sa nouvelle demeure. Et, à notre grande surprise, ça fonctionne! Certes, la démarche d'un cheminement policier couplée à une sombre histoire de fantôme n'a bien sûr rien d'inédite mais Nicolas Pesce l'exécute avec conviction en faisant baigner son long-métrage dans des ténèbres d'une envergure que l'on n'attendait pas à ce niveau! Les partis pris esthétiques évoquent ainsi la noirceur d'un automne éternel, l'atmosphère instaurée parvient à demeurer pesante sur la durée, la lente vitesse de croisière est mûrement réfléchie, le ton est adulte et morbide à souhait (avec quelques pointes d'une violence inattendue de surcroît), le choix du casting apparaît on ne peut plus judicieux vis-à-vis d'une palette de rôles torturés (Andrea Riseborough en tête)... Bref, que cela soit dû à leurs propres douleurs, à la malédiction ou aux deux, l'espèce d'état ultra-dépressif permanent dans lequel évoluent tous ces personnages mal rasés ou aux bagages de cernes records déteint sur la totalité de "The Grudge" et lui confère une identité à contre-courant des canons commerciaux actuels du genre. D'ailleurs, le film ne sera jamais meilleur que lorsqu'il utilisera tous les éléments de son cadre dans une optique de suggestion, avec ces petits moments de tension très réussis avant l'apparition des fantômes. A contrario, lorsque Nicolas Pesce se veut plus démonstratif à l'écran, le film sombre complètement. On ne parle pas ici des quelques séquences sanglantes ou des plans sur des cadavres en décomposition, "The Grudge" affiche un (relatif) jusqu'au-boutisme dans la représentation de sa violence et cela fait plutôt plaisir à voir (et ce jusque dans l'épilogue). Le coeur du problème réside surtout chez les spectres en eux-mêmes. En perdant leurs spécificités physiques qui faisaient leur charme dans les anciens opus, ils sont ici occidentalisés et deviennent par conséquent extrêmement banals. Hormis la présence surabondante d'eau croupie et de baignoires, les modalités de la malédiction "grudgienne" à base de meurtres familiaux n'ont jamais été d'une grande originalité mais, si, en plus, leurs fantômes n'ont plus aucune caractéristique pour en symboliser la portée, ça ne peut hélas déboucher que sur des apparitions très lambdas. D'autant plus qu'à l'exception de quelques jumpscares efficaces, Nicolas Pesce se montre bien moins doué afin de nous surprendre avec leurs manifestations beaucoup trop nombreuses, répétitives et sans grande imagination pour la plupart. C'est d'ailleurs un peu le même souci en ce qui concerne l'intrigue. La progression de l'enquête par ses allers-retours chronologiques nous exposant le destin de chaque habitant de la maison prend beaucoup trop de temps et se limite finalement à enchaîner les exécutions (amusantes pour certaines) sans laisser vraiment le temps de nous passionner ou de creuser les enjeux de la trame principale dont découlera un final plutôt terne... Avouons néanmoins que l'on aura été un poil surpris par certaines qualités de ce "The Grudge" version 2020 tant on redoutait une catastrophe de bien plus grande ampleur. Le film n'est pas bon pour autant et ne remettra sûrement pas cette franchise ou les adaptations de J-Horror sous le feu des projecteurs mais tout de même... les ambitions qui l'animaient étaient loin d'être inintéressantes. Vraiment pas terrible. Pas grand chose à dire sur ce film, à part qu'on manque énormément de renseignement sur cette malédiction. Quelques petits détails sont sympa comme les époques différentes, c'est crédibles et original et les acteurs sont correctes, mais l'histoire n'est pas convaincante et sans surprise. Je ne connaissais pas du tout la franchise "The Grudge" et sa trilogie des années 2004, 2006 et 2009, mais j'avais tout de même envie de tenter l'expérience horrifique avec ce numéro 4: mauvais choix! Pour résumer en quelques mots, différentes personnes commencent à avoir des hallucinations effrayantes et dangereuses après avoir mis les pieds dans des maisons hantées par des esprits torturés. Le récit n'est pas chronologique (pour compliquer un peu) et se passe à différents points du globe. Le scénario n'a donc rien d'emballant et d'original à première vue, mais c'est loin d'être le seul défaut!! Car côté personnages, dialogues et mise en scène, c'est faible, hyper prévisible et sans grand intérêt. Certes, un film d'horreur doit tenter de faire peur mais pas uniquement! J'ai eu l'impression de monter à bord d'un vieux train fantôme oublié au fond d'une fête foraine sans âme. D'une pauvreté affligeante. Site Si je pouvais mettre 0 étoile je le ferais. Aucun intérêt, fuyez! Une perte de temps et d’argent. Rien à voir avec les précédents. Bonjour, Honnêtement je ne sais que dire de ce film, aucune peur, le scénario est éclaté au sol, les flashbacks incessants perdent le spectateur, la j'écris mon avis en même temps que le film parce que vraiment je comprends pas pourquoi il est aussi nul. Bon courage à ceux qui veulent le regarder. j'ai perdu 10 euros Mais quelle "blague" ce film (assez édulcoré pour vous? ) En regardant le teaser, je pensais qu'ils nous avaient pondu une sorte de parodie de "The Grudge": une parodie aurait été meilleure que cet ersatz de films d'horreur. Le scénario ne tient absolument pas la route, les effets spéciaux semblent tout droit sortis d'un film amateur et les éléments horrifiques sont loin de l'être. Même les efforts de Lin Shaye et John Cho n'y pourront rien: ce film est juste mauvais sur tous les points. À moins que vous ne souffriez d'insomnie chronique ou que vous soyez simplement masochiste, passez votre chemin si vous ne voulez pas perdre votre temps. il n'y a rien d'intéressant dans ce film, cet un mélo sans queue ni tête, avec une fin sans aucune ambition. The Grudge 2020 pose, une fois encore, la question de la violence lorsque celle-ci quitte progressivement le champ du récit pour devenir une fin en soi, lorsqu’elle s’autonomise au point de ne plus rien dire de l’univers dont elle est censée émaner. Aussi le film se dégrade-t-il à mesure qu’il avance: l’enchâssement des intrigues et des temporalités constitue d’abord une bonne idée en soi, et l’agencement de ces épisodes, telles les pièces d’un vaste puzzle, reste lisible. Nous avons là un kaléidoscope horrifique dont les facettes renvoient toutes à la même malédiction, déclinée selon le pays, l’âge de la cellule conjugale qui la subit, si bien que la vengeance, étalée sur une heure et demie, prend l’aspect d’une épidémie qui jamais ne cesse. Pourtant, au fil des révélations, les scènes tendent à se répéter, les images glauques sont reprises et montées les unes à côté des autres, petit condensé dégoûtant de la barbarie dans laquelle le film paraît désormais se complaire. L’expression artistique de cette malédiction perd en originalité et recourt aux codes éculés du genre, à commencer par ces terribles jump scare qui pullulent lorsque les fils dramatiques se resserrent. En résulte non seulement un appauvrissement de l’horreur construite mais également un oubli de l’univers mis en place par Takashi Shimizu. Si l’actrice principale, Andrea Riseborough, s’avère plutôt convaincante et campe un personnage à la force fragile, les seconds rôles ne bénéficient pas d’une écriture suffisante pour les complexifier: bien interprétés, ils se suivent, se ressemblent et s’annulent entre eux, à l’image des séquences d’épouvante. The Grudge 2020 aurait dû penser la violence au lieu de s’y jeter avidement; en résulte une production aux réussites locales et à la mise en scène propre, mais qui manque d’audace et surtout n’impose jamais une nouvelle lecture du récit original ici investi. Faut vraiment que les ricains arrêtent avec leurs remakes…dernière idée en date: et si on remakait "The Grudge" le film de 2004: il avait cartonné à l’époque non? A l’origine de cette « saga », on a "Ju-On" et "Ju-On 2", deux chefs-d’œuvre de l’horreur japonaise réalisés par Takashi Shimizu. Puis les américains ont voulu faire un remake et ont demandé à Shimizu de le réaliser lui-même: au final, le film est un énorme carton au box-office mondial. Sur la lancée les producteurs lancent une suite toujours réalisée par Shimizu mais très différente du "Ju-On 2"d’origine et là déjà on sentait un ralentissement, Shimizu étant moins libre artistiquement que sur le premier volet. Le film fut un semi-fiasco si bien que le troisième épisode sortit directement en dvd et sans Shimizu aux commandes… "The Grudge" était encore hier une licence moribonde et au point mort. Mais c’était sans compter avec Hollywood qui, étant plus que jamais en quête de marques à exploiter jusqu’à la dernière goutte, décide alors de lancer une sorte de reboot du remake de 2004 (vous suivez toujours là?! ), espérant ainsi remettre au goût du jour l’horreur japonaise (non, en fait y’a que le fric qui les intéresse). Et pour mener cette mission difficile, les producteurs ont choisi le metteur en scène Nicolas Pesce dont les premières réalisations sont passés totalement inaperçus ("The Eyes of My Mother" et "Piercing"): rien que ça, ça sentait déjà le pâté périmé à des kilomètres!!! Et soyons franc, cette version 2020 est tout simplement C-A-T-A-S-T-R-O-P-H-I-Q-U-E!! Le film échoue sur tous les domaines: 01) Le récit est bordéxxxxlique au possible, multipliant les lignes temporelles, les lieux, les intrigues et les personnages alors que, techniquement, seuls deux d’entre eux sont réellement importants. C’est inutilement complexe et cela donne vraiment l’impression qu’on a essayé faire du cache-misère scénaristique pour combler le vide et les incohérences (sans déc, à un moment on nous sort que l'inspecteur a bossé des mois sur une enquête sans jamais se rendre sur le lieu du crime: vous y croyez vraiment??!! ) Et le pire c’est quand les producteurs assurent que le film se situe bien dans la timeline de la franchise entre le premier et le second remake: sérieux??!! 02) La mise en scène de Nicolas Pesce va au-delà du simple académisme: c’est plat, fade, à la limite de la fainéantise. L’action se passe souvent de jour, cassant totalement avec les codes du genre, en nous proposant une photographie immonde tirant sur un jaune cendré, une sorte de sépia du pauvre qui donne à l’écran une image baveuse et nauséeuse absolument dégueux. 03) Le métrage oublie constamment sa première raison d’être: l’effroi. A aucun moment le film ne fait peur!! D’ailleurs, dès le début du film le ton est donné: au bout de deux minutes, on assiste à la première apparition de Kayako (enfin, de la « nouvelle » Kayako pour être précis)…dans la rue en pleine journée??!! Ensuite il faut atteindre le premier quart d'heure pour voir une vague tentative de frayeur (qui est vaine bien entendu), puis 11 minutes de plus pour un premier jumpscare bien ouais une demi-heure de film et rien à se mettre sous la dent, sauf un petit saignement de nez qui pourra peut-être faire de tourner de l'œil un hématophobe ou deux!! La suite, ce n’est qu’une vulgaire succession de sursauts au rabais (ah ça, vous allez en bouffer des jumpscares relous!! ): jamais le métrage ne vous proposera la moindre scène de suspense ou un seul véritable moment de terreur. 04) Les personnages sont totalement fades, insignifiants, à un tel point qu’on n’éprouve aucune implication émotionnelle ou identification envers eux…finalement, qu’ils crèvent ou pas on s’en tape royalement! Le pire, c’est que beaucoup d’entre eux ne servent à rien sinon à rendre confus le visionnage. 05) Les acteurs sont totalement à la ramasse: Andrea Riseborough est transparente n’affichant pratiquement qu’une seule et même émotion sur son visage pendant 90 minutes (on est bien loin de ces prestations dans "Birdman" et "Mandy"), Demian Bichir fait mal au cœur tant il essaye de donner de la consistance à son perso alors qu’il se demande constamment ce qu’il peut bien faire ici, Lin Shaye est grotesque à un tel point que sa « performance » m’a rappelé celle immonde de Deanna Dunagan dans "The Visit", William Sadler surjoue tellement la folie qu’il en devient pathétique à chaque fois qu’il est à l’écran, quand à Jacki Weaver et Frankie Faison bin…bin…comment dire…. c’est comme regarder un tableau entièrement blanc accroché sur un mur blanc! Non franchement, ceux qui s’en sortent le mieux c’est John Cho et Betty Gilpin, mais leur temps à l’écran est tellement minime qu’on finit tout aussi vite par oublier leur prestation! Sincèrement, comment on peut gaspiller autant de fric à produire des péloches aussi nazes? C’est vraiment une production Ghost House, la boîte de Mister Sam Raimi, ceux qui ont produit "Don’t Breathe" et le remake d’ "Evil Dead"?? Plombé par ces égarements scénaristiques et la mise en scène ultra fainéante de Nicolas Pesce, "The Grudge" 2020 n’est qu’un film sans âme, un autre produit de consommation de plus dans le grand fast-food de l’horreur: fastidieux et indigeste (en fait, c’est juste parfait si vous voulez simplement pioncer pendant 1h30! )…une nullité qui crache sur les fans de cinéma horrifique et qui est une véritable insulte aux chefs-d’œuvre de Takashi Shimizu! Dernier rejeton de la saga initiée en 1998 par Takashi Shimizu, The Grudge version 2020 est surtout le fruit d'un development hell de 7 ans, qui aboutit à ce volet malheureusement très dispensable. Notre critique complète est en ligne ici: Nouveau reboot de la saga initié en 2002 par Takashi Shimizu, the Grudge (ou Rage meurtrière, pour nos amis québécois) tente à nouveau de semer l'effroi dans nos cerveaux. Dommage pour eux, les nôtres se sont un peu endormis devant. L'univers est pourtant intéressant, mais la créature aux long cheveux est trop peu présente, le reste ne sont que de pseudo zombie qui crient beaucoup mais ne font pas vraiment de mal. Vouloir étoffer le film en mêlant différentes époques n'est pas Dénué de sens, mais ça alourdit le film inutilement qui manque vraiment de rythme. Malgré les références au premier et quelques bonnes idées, le film peine vraiment à convaincre et ne remplacera en aucun cas l'original. Malgré un schéma narratif recherché, Nicolas Pesce nous offre une nouvelle version décevante de la saga « The Grudge ». L’ensemble manque cruellement d’originalité et se détache du concept du volet original. Le casting est oubliable. Dommage! Mon avis complet: (sans spoilers) Extrêmement décevant. J'avais hâte d'aller voir ce film, aimant beaucoup cette légende japonaise. Eh bien je dois dire que j'ai été bien déçue. Au bout des cinq premières minutes du film, j'ai cru que j'allais partir tellement les scénaristes ont défoncé cette histoire. Le film ne se passe même pas au Japon. L'endroit que l'esprit est censé hanter est remplacé sans aucune raison dès le début. Et surtout, le pire du pire, the Grudge. Kayako (C'est le nom originel de la jeune femme devenu the Grudge) apparaît moins de 5 minutes dans le film. C'est... honteux. Elle n'est quasi jamais présente, mais seulement les fantômes des gens qu'elle a tué, ce qui n'a d'ailleurs quasi aucun sens. Ça a toujours été elle qui tuait ses victimes et il n'y avait quasi jamais de fantôme. C'est probablement ça, qui m'a le plus dégoutée. The Grudge n'est PAS une histoire de fantômeS, c'est l'histoire d'un esprit, de 2 esprits, Kayako et son fils (qui est d'ailleurs totalement absent) tués et animés d'un immense colère, ce qui a conduit à la malédiction concernant le lieu de leur MORT. Sa back story est bâclée en 2 minutes, avec de belles écritures sur un fond blanc, wwooooooaaaa. En fait, à plusieurs moments, j'ai plus eu l'impression de voir Samara (l'esprit de The Ring) plutôt que The Grudge, c'est pour dire à quel point les scénaristes en avaient rien à foutre. Sinon les incessants retours dans le temps sont plus ennuyants qu'autre chose, avec des persos dont on se fiche beaucoup. Des scènes sont littéralement INUTILES, elles apportent vraiment nada (et pour que moi je le remarque il faut le faire), et les jump scares sont beaucoup trop nombreux et n'apportent absolument rien. Et la fin est prévisible.... mais bon à la limite face aux autres défauts du film ça passe. En résumé, le problème de ce film c'est que c'est pas vraiment un film sur The Grudge. On enlève le titre et les 5 minutes d'apparition de The Grudge et on a un film de fantôme lambda qui peut plaire à certains. Donc voilà, si vous appréciez les The Grudge originaux, passez votre chemin. Beurk est exellent. Je m'attendais a moins bien, un chef d'œuvre qui mérite des dizaines d'Oscar!! On s'attendait absolument pas a la fin et l'intrigue est exceptionnelle. Bravo aux scénaristes et encore mille bravos aux acteurs!!! Je suis fan de la franchise que ce soit la version japonaise ou américaine de Takashi shimizu. Donc forcément malgré les mauvaises critiques je suis allé le voir. Je comprends les mauvaises critiques car les gens voulait de l'horreur alors que ce film c'est plus une enquête policière qui nous montre comment des événements ce sont produits. Donc y a beaucoup de flashback et l'intrigue et va crescendo. Moi j'adore quand c'est comme ça. D'ailleurs Rings 2017 utilise le même procédé. Plutôt que de faire un remake/reboot avec un autre scénario ou un copié collé montrer l'intrigue sous un autre angle est un choix judicieux! Les meilleurs films de tous les temps Les meilleurs films de tous les temps selon les spectateurs Les meilleurs films de tous les temps selon la presse.
Download the grudge english subtitles. Download the grudge. Download the grudge 2 full movie. I haven't seen The Grudge yet Horror usually isn't my thing My favorite Horror movie is Silence of the Lambs. BORING 😒😒😒 i still prefer the ORIGINAL The Grudge! THE ORIGINAL STILL GIVES ME JUMPSCARES. Download the grudge 3 full movie. *spoilers*
When I go see horror remakes I always watch the original first. Well this movie opened up with a shot of the original house, then did a crap behind you scare and a breathing garbage bag but that's all you get. no more original for you. Then it goes straight to the USA and do you get a slow burn with a new family. oh hell no, family just dead after mom comes home from Japan with no real touching on it at all other than very poorly in the end. For some reason this movie then goes between years and I never really felt like I knew what year this was in and there is no reason for it, they could have just skipped that whole timeline jump thing and it would have made a better movie. And why is the year 2006 or 2008 or whatever but everyone is driving cars from the 1980's. It tells three tales that happen in this new cursed house all of them very poorly, just an oh that person is crazy cause they came in contact with the curse they went in the house. They do this whole fbi took over the original murdered families thing and then never touch on it, just fbi took over.
Then at the end when the think the curse is all done, surprise nope it's not. Then they do this real time shot outside the house so everyone in the theatre is waiting for something to happen and nope screen goes black and credits roll. They will not get a sequel out of this. Check it out on Netflix for free just to see what passed as a theatrical release these days.
Download the drudge report app. Download the grudge movie. Helen Hunt is a great actress. It's been a long time since I had seen her in films. People shouldn't be picking on her looks. She's not young like she used to be. She's still beautiful. We all age at some point. This film looks interesting. Helen you're the bomb. 👍. Some reason watching this, made me feel like its a dark modern day version of red riding hood. Shot and edited using Imovie. There's only couple of hundred peoples on the town and unfortunately I know all of'em ~Don't talk with strangers. This coming out on my birthday best believe imma be thereeeee🤟🏽🤟🏽. Download the grudge full movie in hindi. The Grudge Theatrical release poster Directed by Takashi Shimizu Produced by Sam Raimi Robert Tapert Takashige Ichise Screenplay by Stephen Susco Based on Ju-on: The Grudge by Takashi Shimizu Starring Sarah Michelle Gellar Jason Behr KaDee Strickland Clea DuVall Bill Pullman Music by Christopher Young Cinematography Hideo Yamamoto Edited by Jeff Betancourt Production company Ghost House Pictures [1] [2] Distributed by Columbia Pictures Release date October 22, 2004 (United States) Running time 91 minutes Country United States Japan Language English Japanese Budget $10 million [3] Box office $187. 2 million [3] The Grudge is a 2004 American supernatural horror film directed by Takashi Shimizu, written by Stephen Susco, and produced by Sam Raimi, Robert Tapert, and Takashige Ichise. A remake of Shimizu's 2002 Japanese horror film Ju-On: The Grudge, it stars Sarah Michelle Gellar, Jason Behr, KaDee Strickland, Clea DuVall, and Bill Pullman, and is the first installment in The Grudge film series which is based on the Japanese Ju-On films. Takako Fuji, Yuya Ozeki, and Takashi Matsuyama portray the characters Kayako Saeki, Toshio Saeki, and Takeo Saeki from the original films. The plot is told through a nonlinear sequence of events, and includes several intersecting subplots. After the success of American remake of The Ring, Sony Pictures had green-lit an American remake of Ju-On: The Grudge. Shimizu, the writer and director of the original film, was hired to direct the film, from a screenplay written by Susco. Principal photography on the film began on January 26, 2004 and wrapped in July 2004 in Tokyo, Japan. The Grudge was released in North America on October 22, 2004, by Columbia Pictures. The film grossed $187 million against a $10 million budget. On its opening weekend alone, the film grossed $39 million, becoming the first horror film since House on Haunted Hill (1999) to top the Halloween box office and, until the Friday the 13th remake in 2009, had the highest grossing opening weekend in history for a horror remake. [3] The film was followed by two sequels, the theatrically released The Grudge 2 (2006) and the straight-to-video The Grudge 3 (2009). A sidequel, also entitled The Grudge, taking place concurrently with the events of this film and its two sequels, was released in 2020. Plot [ edit] The Grudge describes a curse that is born when someone dies in the grip of extreme rage or sorrow. The curse is an entity created where the person died. Those who encounter this supernatural force die, and the curse is reborn repeatedly, passing from victim to victim in an endless, growing chain of horror. The following events are explained in their actual order; however, the film is presented in a nonlinear narrative. The Saeki Family [ edit] Kayako Saeki, a housewife living in suburban Tokyo, is in love with college professor Peter Kirk, obsessively writing about him in a diary. Her husband Takeo becomes jealous as he discovers the diary and believes that Kayako is having an affair with another man. Takeo brutally murders her, their young son Toshio, and the pet cat Mar in violent rage. After Takeo hides the bodies in the house, Toshio's ghost hangs him. After receiving a letter from Kayako, Peter visits the Saeki house only to find both her and Takeo's corpses along with Toshio's ghost. Shocked, he flees the scene and kills himself the next day. The remainder of the Saeki family rise again as ghosts due to the curse, notably Kayako, who appears as an onryō ghost. The Williams Family [ edit] A few years later, the Williams family from America move into the Saeki house. While Matt is thrilled with the house, his wife Jennifer and dementia -ridden mother Emma feel uncomfortable. Matt and Jennifer are quickly consumed by the curse. Yoko, a care worker, arrives at the house to find Emma alone before she encounters Kayako, who drags her up into the attic. Karen Davis [ edit] Concerned about Yoko's disappearance, her employer Alex sends another care worker, Karen Davis, to take over the care of Emma. At the house, Karen discovers Toshio sealed up in a wardrobe and later on witnesses Kayako's spirit descending from the ceilings to claim Emma. Alex arrives at the house shortly after and finds Emma dead and Karen in a state of shock. Alex calls the police, with the presence of Detective Nakagawa. In the attic, Nakagawa and his partner Igarashi find Matt and Jennifer's bodies, along with a human's lower jaw. Meanwhile, Matt's sister, Susan, is pursued by Kayako around her office building. At home, Kayako attacks her and she vanishes. While leaving work, Alex is killed by Yoko's jawless corpse. Kayako begins haunting Karen, who informs her boyfriend Doug of the situation. Karen researches the house, eventually confronting Nakagawa, who explains that three of his colleagues investigating the Saeki deaths were all consumed by the curse. That night, Nakagawa carries gasoline into the house in an attempt to burn it down, but is killed by Takeo. After learning that Doug has ventured to the Saeki house to look for her, Karen races there. She finds Doug paralyzed and attempts to flee with him. Kayako crawls down the stairs and latches onto Doug, who dies of shock. As Kayako closes in, Karen sees the gasoline and ignites it. Karen survives and in the hospital, she learns that the house also survived the fire. Visiting Doug's body, Karen realizes that she is still haunted by Kayako. Cast [ edit] Sarah Michelle Gellar as Karen Davis, an exchange student Jason Behr as Doug McCarthy, Karen's boyfriend, who attends the University of Tokyo KaDee Strickland as Susan Williams, Matt's younger sister William Mapother as Matt Williams, who relocates to Tokyo for a promotion Clea DuVall as Jennifer Williams, Matt's wife Grace Zabriskie as Emma Williams, Matt and Susan's mother, who has severe lethargy with mild dementia. Bill Pullman as Peter Kirk, a teacher working in Tokyo Rosa Blasi as Maria Kirk, Peter's wife Ted Raimi as Alex Jones, the director of the care centre where Yoko and Karen are stationed Ryo Ishibashi as Det. Nakagawa, a detective Yōko Maki as Yoko, a Japanese care worker assigned to care for Emma Williams Takako Fuji as Kayako Saeki, a married woman who is attracted to Peter Kirk Yuya Ozeki as Toshio Saeki, Kayako and Takeo Saeki's 10-year-old son. Takashi Matsuyama as Takeo Saeki, Kayako's husband Production [ edit] In early 2000, the unexpected success of the American remake of The Ring is what led to Sony Pictures finally having the confidence to green-light an American remake of Ju-On: The Grudge. That same day, Takashi Shimizu, the director and creator of the original film, was hired to direct the film, with Stephen Susco writing the screenplay, and Sam Raimi through its Ghost House Pictures banner producing the project, alongside Robert Tapert and Takashige Ichise. Shimizu was eager to work on a remake of his own film, as he saw it as an opportunity to improve and fix some of the perceived problems and flaws that were present in the original film. Principal photography on the film began on January 26, 2004. Reshoots on July 2004 in Tokyo, Japan. Before filming, the cast and crew went through a ceremony, where they were blessed so that nothing bad could happen to them during filming. Release [ edit] The Grudge was theatrically released in the United States on October 22, 2004, by Columbia Pictures, to coincide with Halloween. Box office [ edit] The Grudge opened at 3, 348 theaters in North America. [4] The film generated $39. 1 million in ticket sales in its first weekend (October 22–24, 2004). Ticket sales declined 43% on the second weekend, earning $21. 8 million, thereby becoming the first horror film to top the Halloween box office since House on Haunted Hill. [5] The film made US$110. 4 million in North America alone and a total of $187. 3 million worldwide, far exceeding the expectations of box-office analysts and Sony Pictures executives. Sony also stated production costs of less than $10 million, making it one of the most profitable movies of the year. [6] The film is recognized as the second-highest grossing horror remake of the past 40 years behind The Ring, but in front of horror films such as A Nightmare on Elm Street, Friday the 13th, and One Missed Call, the former two had successful series, and were expected to be far more successful, whereas the latter is also an Asian horror remake and did far less in terms of box office. [7] It is also second in Japanese remakes, but seventh in the highest openings for an October and fall release, being beaten by family movies. [7] Critical reception [ edit] The review aggregator website Rotten Tomatoes rates the film 39% based on reviews by 160 critics, with an average rating of 5. 11/10. The site's critics consensus reads, "There's some creepy imagery to be found, but not much in the way of logic or truly jarring scares. " [8] On Metacritic, the film has a weighted average of 49 out of 100 based on 32 reviews, indicating "mixed or average reviews". [9] Roger Ebert gave a mostly negative review, awarding the film 1 star out of 4, writing "I'm not sure how most of the scenes fit into the movie. I do, however, understand the underlying premise: There is a haunted house, and everybody who enters it will have unspeakable things happen to them. " He criticized the fragmented time structure and said he "eventually lost all patience". [10] Home media [ edit] The Grudge was released on VHS, DVD, and UMD on February 1, 2005, as a standard version of the film with only a few special features. [11] On May 17, 2005, the unrated director's cut of The Grudge was released on DVD in North America. The release included several scenes that were cut to achieve a lower rating from the MPAA. [ citation needed] This version of the film was used as the theatrical run in Japan. The release also contained new deleted scenes and commentaries, director Takashi Shimizu's original Ju-On short films, "4444444444" and "In a Corner", and more. [12] The film was released on Blu-ray Disc in Germany in 2008 [ citation needed] and in the US on May 12, 2009, the same day that The Grudge 3 was released on DVD. It was made available to purchase on iTunes in 2008. The film made $9. 24 million from DVD sales in its first week, debuting at number two in the sales chart behind Ray. It has made an estimated $20 million since. [13] References [ edit] ^ Foundas, Scott (October 21, 2004). "The Grudge". Variety. Retrieved June 16, 2019. ^ "The Grudge (2004)". American Film Institute. Retrieved June 16, 2019. ^ a b c "The Grudge (2004)". Box Office Mojo. IMDb. Retrieved January 23, 2020. ^ Box Office Mojo (October 20, 2006). "Grudge opens on 3, 348 theatres". Retrieved 2006-10-20. ^ Box Office Mojo (October 20, 2006). "Grudge tops box office". "The Grudge was expected to generate 20 Million". Retrieved 2006-10-20. ^ a b "Horror Remake Movies at the Box Office - Box Office Mojo".. ^ "The Grudge (2004)". Rotten Tomatoes. Fandango. Retrieved 2019-11-02. ^ "The Grudge (2004) Reviews". Metacritic. CBS Interactive. Retrieved 2019-11-02. ^ Ebert, Roger (October 21, 2004). "The Grudge (2004)". Chicago Sun-Times. ^ Amazon (October 20, 2006). "Standard Version release". Amazon. Retrieved 2006-10-20. ^ Amazon (October 20, 2006). "Uncut Version release". Retrieved 2006-10-20. ^ "Ray and The Grudge top the DVD charts".. 9 February 2005. External links [ edit] The Grudge on IMDb The Grudge at AllMovie The Grudge at Rotten Tomatoes The Grudge at Box Office Mojo Director Takashi Shimizu Q&A.
Gost kkkkkkkk 🙏🙏🙏🙏. This movie is a NEW remake of the Grudge. It's the 2nd remake of the original Ju-on. remakes are meant to have new stories, plots, and scenarios. The acting (again) was superb. You do not have to watch any of the previous movies to watch this one because this one is a solo child. Fully enjoyed this movie. I will be seeing it again and again. Just dont go in with a negative attitude and you'll be surprised that your attitude is what makes you have a good or bad time.
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Séances Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Photos VOD Spectateurs 1, 6 424 notes dont 87 critiques noter: 0. 5 1 1. 5 2 2. 5 3 3. 5 4 4. 5 5 Envie de voir Rédiger ma critique Synopsis et détails Interdit aux moins de 12 ans Une nouvelle version tortueuse de ce classique du genre, de cette histoire horrifique, inspirée du film JU-ON: THE GRUDGE de Takashi Shimizu. Distributeur Sony Pictures Releasing France Voir les infos techniques 8 bandes-annonces Acteurs et actrices Casting complet et équipe technique Critique Presse Ecran Large Le Parisien Les Fiches du Cinéma Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus. 3 articles de presse Critiques Spectateurs Après avoir vu Samara se prendre méchamment les cheveux sales dans le tapis avec la pitoyable tentative de ressusciter la saga "Ring" US en 2017, on pensait que les spectres nippons (et leurs équivalents "corrigés" au ketchup US) étaient repartis une bonne fois pour toutes se faire un soin capillaire dans l'au-delà... Ben non. Nous voilà en 2019 avec un nouveau "The Grudge" et toujours autant surpris de sous-estimer le manque cruel... Lire plus Je ne connaissais pas du tout la franchise "The Grudge" et sa trilogie des années 2004, 2006 et 2009, mais j'avais tout de même envie de tenter l'expérience horrifique avec ce numéro 4: mauvais choix! Pour résumer en quelques mots, différentes personnes commencent à avoir des hallucinations effrayantes et dangereuses après avoir mis les pieds dans des maisons hantées par des esprits torturés. Le récit n'est pas chronologique (pour... Mais quelle "blague" ce film (assez édulcoré pour vous? ) En regardant le teaser, je pensais qu'ils nous avaient pondu une sorte de parodie de "The Grudge": une parodie aurait été meilleure que cet ersatz de films d'horreur. Le scénario ne tient absolument pas la route, les effets spéciaux semblent tout droit sortis d'un film amateur et les éléments horrifiques sont loin de l'être. Même les efforts de Lin Shaye et John Cho n'y pourront... Si je pouvais mettre 0 étoile je le ferais. Aucun intérêt, fuyez! Une perte de temps et d’argent. Rien à voir avec les précédents. 87 Critiques Spectateurs 20 Photos Secrets de tournage Development hell Ce nouveau volet de The Grudge était en projet depuis 2013. Le réalisateur de Butcher - La Légende de Victor Crowley, Adam Green, était en lice à l'époque pour réaliser le film. Timeline Ce nouvel opus se situe entre le remake de 2004 et sa suite de 2006. Dernières news 9 news sur ce film Si vous aimez ce film, vous pourriez aimer... Voir plus de films similaires Commentaires.
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Bio He conducts major seminars on Business Management and has encouraged many on issues related to business success.